Jardin parisienAvec une pensée pour la bonne ville de Limoges, 25 ème arrondissement de Paris.Illustration : Un jardin parisien avec une fontaine, aux Halles, que je ne connaissais pas.Départ tour st-Jacques. Je m'arrête boire un coca à la brasserie st-Jacques, un très bel établissement, dans lequel je constate une clientèle plus nombreuse qu'à l'accoutumée. Il y a une nouvelle direction. En parlant avec le patron, il me dit qu'il a repris l'affaire depuis seulement un mois, me parle de la tour st-Jacques, lieu mythique pour les pèlerins (et randonneurs) de Compostelle et qui est en travaux de réfection.Je lui rétorque que son but n'est pas d'acheter la tour st-Jacques, mais de faire connaître son établissement à une petite clientèle de parisiens du cru (qui ont bien besoin qu'on s'occupe d'eux), et qui trouverons là un petite halte sympathique avant de se lancer à l'assault de la capitale. Un lieu bien plus agréable que la sempiternelle Place du Châtelet, avec les brasseries de grand passage qui la borde.Ma bagnole s'est dirigée vers Denfert-Rochereau, un peu comme un cheval en liberté : sans but défini, pour le seul plaisir du galop. Téléphone à une amie, que j'aurais pu passer voir, mais qui est absente.Derrière la rue Daguerre, cherchant l'ombre des arbres qui ont trouvé leur robe de printemps et qui bordent, nombreux, cette avenue, je me gare à reculons dans une petite impasse, j'ouvre la fenêtre et je regarde les quelques personnes qui passent devant moi. C'est un endroit très calme et en plus, nous sommes dimanche après-midi.C'est reposant de voir si peu de personnes, dans une ville comme Paris, où l'on ressend parfois, le besoin de se désintoxiquer du gigantisme.Je peux les regarder attentivement, avec le pinceau de mon oeil, dans lequel j'essaye d'ajouter la lumière d'une bonté naissante.Je me dis qu'il faut se munir d'une grande dose de bonté pour palier au risque de pervertir, par exemple, la beauté et la chaleur d'un regard rencontré.Etudier mon frère humain (des villes) comme un chasseur d'images, tapi dans un recoin insoupçonné, comme le firent les grands réalisateurs animaliers de la brousse africaine, ou comme un chasseur de canard de la baie de Somme, dans son abri enterré.C'est sur la place de la liberté et de l'existencialisme que j'ai appris à regarder les parisiens. Et aussi qu'est né coeurdeville.org.Cinq heures de tournage vidéo qui sont encore dans les tiroirs d'un copain vidéaste professionnel.Récemment, je me suis dit qu'il fallait que je reprenne le tournage de petits documentaires vidéos. Le prochain, ce sera de filmer (pour faire découvrir) le petit Mirka avec son super vélo BMX, casquette en arrière, façon urban free-style. Une vraie graine de champion.Je remonte la rue st-Jacques, pour retrouver la rue vaugirard au-dessus, car je veux aller place st-Sulpice.Je me gare au coin du Bd st-Germain (sur un passage clouté), pour acheter un bloc note, car je n'ai plus de papier.Dans un magasin de BD, deux jeunes parisiennes me donnent trois feuilles de papier, je vais pouvoir continuer de prendre des notes pour l'écriture de mon article. Je les remercie et je sors. Je reviens sur mes pas et je leur dis : ces trois feuilles de papier que vous me donnez, elles vont servir à écrire un texte qui s'appelle "jardin parisien", que vous pourrez trouver publié sur le site coeurdeville.orgNon. Je passe rue Losserand, finalement.Je me gare et en rentrant dans le bar 100% portugais où je passe parfois, me vient cette idée saugrenue : les portuguais et les basques (dont on sait très peu de leur origine), auraient-ils la même origine ?Je pose la question au patron du bar et nous engageaons une conversation en portugais. Je n'ai jamais rencontré en Ile-de-France, un bar aussi portugais que celui-là.(pour continuer la lecture du texte, cliquer sur "lire la suite") plus...
Vie contre Vie,face à faceregard contre regardavec mes frères humains.Journée existencielle au possible,où chacun est invitéà se donner un K-RDV (rendez-vous du coeur),sur la Place de la liberté et de l'existencialismeau coeur de Paris.(le ventre de Paris étant ses restaurants, ses poumons étant sa banlieue et grande banlieue ou région Ile-de-France)..Vie contre Vieface à faceregard contre regardavec mes frères humains.Place de la liberté et de l'existencialisme,où chacun est invitéà mettre ses voiles au Vent qui le pousse irresistiblement sur ce lieu particulier.Vie contre Vie,face à faceregard contre regardavec cette femme d'origine lorraine,(mais qui vit depuis trente ans à Paris)rencontrée pas loin d'ici, l'autre nuit.(et qui se retrouve à la rue depuis quatre ans).Appelons-là Oushi, prénom que j'invente pour la circonstance, à consonance d'indiens d'Amazonie, car comme eux, elle sait se rendre invisible.J'ai porté ses trois sacs en plastiques (que j'ai trouvé extrêmement lourds); elle m'a dit que c'était pour se fatiguer pour mieux dormir.Si je la revois je voudrais pouvoir m'occuper d'elle, l'emmener dans un service d'urgences.Journée existentielleau possibleet si possibleentre personnes gonflées d'Air.Mon air à moi étant une profonde humilité, face à l'universalité de la vie, cette Vie contenue en chacun de mes frères humains.Idéalement, des rencontres si possible, avec des gens dont les attitudes m'attirent (plutôt qu'elles me repoussent).Mais là encore, on tombe dans le schéma.Car qui a un aspect repoussant a quand même, ne fût-ce qu'une parcelle, un côté beau et lumineux au fond de lui. plus...
Allez tranquillement parmi le vacarme et la hâte et souvenez-vous de la paix qui peut exister dans le silence. Sans aliénation vivez autant que possible en bon termeavec toutes les personnes. Dites doucement et clairement votre vérité et écoutezles autres, même le simple d’esprit et l’ignorant :Ils Ont eux aussi leur histoire. Evitez les individus bruyants et agressifs, ils sont unevexation pour l’esprit. plus...
On a tous le droit !A l'honneur sur coeurdeville.org, la chanson :"On a tous le droit" de Liane Foly. Pourquoi ?Parce que non seulement elle résume tout l'esprit de coeurdeville.org,mais en plus elle participe de ces choses belles (et parfois même très belles) que nous ne savons pas toujours apprécier à leur juste valeur.La chanson "On a tous le droit", de Liane FolyParoles et Musique: Presgurvic 2001 de l'album "Entre nous"Écouter un extrait :Ecouter un extraitLa chanson complète en clip vidéo:La chanson complète en clip vidéo(cliquer sur le lien ci-dessus)Les paroles de la chanson "On a tous le droit"(et pour le même prix, en ses périodes de soldes de Noël, les paroles de Il faudra leur dire de Francis Cabrel) plus...
Les meilleurs voeux d'un croyant libre en 2006 ...Nous espérons,pour toi, pour vous et votre famille, une belle évolution vers toujours plus de changement et de responsabilité face aux actes de la vie quotidienne et dans votre implication au cœur de ce monde à changer.Nous souhaitons l'aboutissement de tous vos projets qu'ils soient personnels ou qu'ils soient directement liés à la grande communauté des hommes de bien.(...) plus...
Sentiers de sagesseUn matin au TibetSens-tu la pureté de ces cîmes ?Avec de la musique en plus ? (Click on it !)Sens-tu maintenant la sérénité et la puissance de la montagne et ses neiges éternelles ? plus...
Je pense, donc j'écrisQu'est-ce que penser ?Je pense donc je suis,(Descartes)je ponce, donc je suis,(travailleur anonyme).Je pionce, donc je suis ... Kaox ?L'oisif de service ?...Le petit LevTar.gz du coin,indemnisé par l'assistannat social(qu'il décrit ?)(l'assistannat pourrait donc produire quelque chose d'utile pour les autres ?)(à condition d'en utiliser avec modération, c'est comme l''alcool).(pas trop d'assistannat, pas trop d''intransigeance, mais surtout vous parler de l'essentiel). plus...
On a besoin de bonhommes, les vrais !Un bonhomme, n'est-ce pas quelqu'un qui est capable ... de redonner un sens, du sens à l'existence ?...Un bonhomme, un vrai, n'est-ce pas un individu ? un citoyen ? un cybergnome ? un substrat d'humain qui ne lui reste d'humain que son cœur qui fait boum-boum ?, que sais-je, un humanoïde associé avec sa conscience libérée du poids de la foutaise, de l'inutile, le prisme déformant de sa culture ?Tous cons, tous pareils !C'est pas de la pensée unique ça ?...A une époque du "tout à l''égo", où tout fout le camp ... mais que fais la police ! ..., voilà le discours (à la Sarko) , moi, je m'exclaffais, partout à la ronde : "on est dans une société qui a besoin de gens qui posent de bonnes questions..."N'aurions-nous pas besoin d'un peu de parler vrai ? ... plus...
(en souvenir de la chanson de Francis Cabrel et les petits enfants chanteurs (1989 ?) :... que les mots qu'ils nous disent, c'est comme un parfum qu'on respire ..."Un grand moment d'histoire de France ... où ce sont les enfants qui ont appris quelque chose aux adultes: la communication au-delà des mots. Dialogue imaginaire.Pourquoi ?Parce que les questions que l'on ne vous posent jamais, font que vous ne pourrez jamais y répondre ...Dialogue imaginaire par nécessité physiquede faire passer un peu de contenu d'existence (ou existenciel)comme les abeilles produisent leur miel.On ne sait pas pourquoi elles le font.Mais ce qu'on sait, c'est que le miel est bon,y compris pour la santé.Il faudra leur dire ...qu'il faut s'impliquer dans une recherche des causes et non seulement des effets ... de tous nos soucis, de toutes nos difficultés.Nous sommes dans un sous-emploi généralisé de la réflexion ... plus...
Charte mondiale des femmes pour l’humanité (et vos commentaires)PréambuleNous, les femmes, marchons depuis longtemps pour dénoncer et exiger la fin de l’oppression que nous vivons en tant que femmes, pour dire que la domination, l’exploitation, l’égoïsme et la recherche effrénée du profit menant aux injustices, aux guerres, aux conquêtes et aux violences ont une fin.De nos luttes féministes, de celles qu’ont menées nos aïeules sur tous les continents, sont nés de nouveaux espaces de liberté, pour nous-mêmes, pour nos filles, pour nos fils et pour toutes les petites filles et tous les petits garçons, qui, après nous, fouleront ce sol. Nous bâtissons un monde où la diversité est un atout et où tant l’individualité que la collectivité sont sources de richesse, où les échanges fleurissent sans contraintes, où les paroles, les chants et les rêves bourgeonnent. Ce monde considère la personne humaine comme une des richesses les plus précieuses. Il y règne l’égalité, la liberté, la solidarité, la justice et la paix. Ce monde, nous avons la force de le créer.Nous formons plus de la moitié de l’humanité. Nous donnons la vie, travaillons, aimons, créons, militons, nous distrayons. Nous assurons actuellement la majorité des tâches essentielles à la vie et à la continuité de cette humanité. Pourtant, notre place dans la société reste sous-évaluée.La Marche mondiale des femmes, dont nous faisons partie, identifie le patriarcat comme le système d’oppression des femmes et le capitalisme comme le système d’exploitation d’une immense majorité de femmes et d’hommes par une minorité.Ces systèmes se renforcent mutuellement. Ils s’enracinent et se conjuguent avec le racisme, le sexisme, la misogynie, la xénophobie, l’homophobie, le colonialisme, l’impérialisme, l’esclavagisme, le travail forcé. Ils font le lit des fondamentalismes et intégrismes qui empêchent les femmes et les hommes d’être libres. Ils génèrent la pauvreté, l’exclusion, violent les droits des êtres humains, particulièrement ceux des femmes, et mettent l’humanité et la planète en péril. Nous rejetons ce monde ! Nous proposons de construire un autre monde où l’exploitation, l’oppression, l’intolérance et les exclusions n’existent plus, où l’intégrité, la diversité, les droits et libertés de toutes et de tous sont respectés. Cette Charte se fonde sur les valeurs d’égalité, de liberté, de solidarité, de justice et de paix. plus...
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